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    Bitcoin : Décentralisation Vs Recentralisation

    Bitcoin : Décentralisation Vs Recentralisation

    Par définition,, la caractéristique la plus importante du Bitcoin, celle qui en fait une réelle innovation, est qu'il repose sur un mécanisme de consensus décentralisé.

    Premièrement vous n'êtes pas obligé d’utiliser une plateforme d’achat et de vente de Bitcoin de type Kraken ou Coinbase pour acheter ou stocker du Bitcoin. Un utilisateur n’est en aucun cas obligé de passer par ces intermédiaires. Vous pouvez acheter un Bitcoin à un ami ou les stocker sur un portefeuille local sur votre ordinateur ou sur une clef physique que vous détenez chez vous.

    Bitcoin : Décentralisation Vs Recentralisation
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    Carte mère Bang-Marshal B3 de MSI, 8 ports

    Cette possibilité, même minime est très importante dans le système Bitcoin, si vous pouvez faire confiance à une plateforme tierce pour stocker votre crypto-monnaie vous pouvez à tout moment vous retirer et la gérer vous même au sein d’un wallet personnel.

    Le transfert de Bitcoin pour un utilisateur peut aussi se faire en utilisant n’importe quel réseau numérique, qu’il soit high tech ou low tech en se passant des plateformes d’échanges. Ce qui rend un contrôle étatique quasiment impossible.

    Vous pouvez aussi “miner” vous-même vos propres bitcoins, c’est à dire en créer, à partir d’un équipement adapté et d’une carte mère adéquat (voir ci dessus, la carte mère Bang Marshal B3 de MSI) un point clef qui illustre parfaitement la décentralisation du système. Si on se replace dans le système financier mondial sur lequel reposent nos monnaies nationales, celui-ci a la main mise sur la création, la régulation et sur vos mouvements de transferts d’argent.  Essayez de “miner” vous même vos euros ou dollars, vous aurez de grandes chances de terminer en prison.

    Et pourtant, si nous prenons un peu de recul nous pouvons nous poser certaines questions sur le niveau réel de cette décentralisation.

    La plupart des services construits autour de l'écosystème Bitcoin, comme ces mêmes plateformes, ou dispositifs de minage semblent regroupés, voir même disons concentrés.

    Prenons l’exemple des plateformes d’achats et d’échanges de Bitcoin. Même si en théorie, il n’y a pas de limites à leur nombre, nous constatons cependant que ce business est concentré sur un nombre d’acteurs définis (Coinbase, Kraken, Bitstamp, Bitfinex etc.), des personnes ou des entreprises, sur des serveurs spécifiques, avec des systèmes informatiques spécifiques. Cette consolidation n’est qu’à ses débuts, et il ne serait pas étonnant qu’au fur et à mesure de la démocratisation du Bitcoin et des rachats, le nombre de ces plateformes se limite à 4 ou 5 plateformes ayant pignon sur le marché.

    Mais au-delà du phénomène de concentration inévitable de ces plateformes, il est aussi intéressant de regarder comment elles fonctionnent, comment elles recrutent de nouveaux utilisateurs et quelles sont les règles pour y souscrire.

    Prenons la plateforme Kraken par exemple, quelle est la différence entre un compte sous cette plateforme et un compte PEA ouvert au sein d’une banque, quelle que soit la banque en question. Dans les deux cas, au-delà des services proposés, les exigences pour créer un compte sont semblables. Il faut créer un compte et s'identifier précisément (jusqu’à 4 étapes sur Kraken) répondre aux exigences du KYC (Know Your Customer).


    Processus d’identification lors de la création d’un compte sous Kraken.com

    Kraken veut savoir qui vous êtes, où vous vivez  et prend le temps de vérifier l’exactitude de chacun des éléments  avant de vous donner la possibilité d’accéder à ses services. S'ils le désirent, ils peuvent vous interdire tout accès ou toute utilisation de la plateforme.

    Quelle est donc la différence entre Kraken et votre banque si cette plateforme se comporte comme n’importe quelle institution financière?

    Allons un peu plus loin en essayant de nous projeter par rapport à notre quotidien.

    • Imaginons que le Bitcoin continue de se libéraliser en tant que moyen de paiement légal et qu’en France comme au Japon prochainement, nous puissions régler nos achats du quotidien dans cette monnaie.
    • Imaginons que notre wallet se transforme en compte courant sur lesquel nous pourrions programmer des virements réguliers.
    • Imaginons qu’à côté de nos placements boursiers, notre PEA, notre PEAL, nous placions un peu de nos économies dans d’autres crypto monnaies.
    • Imaginons que la masse financière du Bitcoin ne soit plus de 0,1% mais de 5% de la masse financière.

    Ces plateformes financières ne seraient-elle pas alors devenues les nouveaux GAFAs bancaires, à la pointe des technologies les plus pointues du moment (blockchain) et n’auront-elle pas la possibilité de racheter les banques qui, elles, seront en souffrance face à une transformation digitale qu’elle arrivent difficilement à gérer.

    Au final les institutions financières ne changeraient pas, les états resteraient à leur place, les banques auront juste été “blochainisées “ remplacées par ces plateformes qui, elles, auraient étendu leur périmètre au-delà des crypto monnaies. Si nous voulons être quelque peu provocateurs, les plateformes auront plus de facilité à appréhender les problématiques des banques classiques que l’inverse.

    Le phénomène de minage pose aussi question: il est aussi en théorie totalement décentralisé, chacun pouvant “miner” (action de créer soi même ses bitcoins via son ordinateur) de son côté. Or “miner” seul de son côté avec son ordinateur ne revêt que peu d'intérêt car il est très peu rentable du fait de l’investissement matériel  et du coût énergétique nécessaire. Les progrès énormes des “machines” de minage et le côté ultra compétitif ont quasiment rendu cette activité impossible à titre individuel.

    C’est pour cela qu’avec le temps,  les mineurs se sont regroupés en “fermes” ou” pool” de minage afin de mutualiser la puissance de calcul des serveurs informatiques.

    Si nous regardons la répartition des “pools” nous constatons que les 4 premières représentent près de 50% du marché, ce qui nous montre une concentration forte voire même un début de centralisation. Nous semblons donc nous diriger vers une centralisation des pools de minages. Ce qui est sûr, c’est que les mineurs travaillant de manière autonome n’existent quasiment déjà plus, ce qui est un paradoxe pour les principaux acteurs de ce processus décentralisé.  

    Répartition des pools minières (https://blockchain.info/pools

    Une question se pose alors à nous: la décentralisation du Bitcoin serait-elle une chimère ? Un peu comme si nous vendions un produit pour ses propriétés théoriques fantastiques mais qui ne serait pas utilisable dans la vie réelle. Du beau marketing, tout simplement !

    N'exagérons pas mais sans parler de centralisation, nous semblons nous diriger vers un phénomène de concentration de plus en plus forte de certaines composantes du Bitcoin à mesure d’une adoption plus massive de celui-ci.

    L’expansion du Bitcoin signifie-t-elle une centralisation et sa fin  ?

    Un des éléments importants dans le phénomène de centralisation / décentralisation du Bitcoin est l’évolution qu’il prendra au fur et à mesure de son adoption par le grand public vs les early adopters qui le possèdent aujourd’hui.

    Nous sommes en effet à une période charnière de sa vie: les investissements et les financements via cette monnaie se développent (ex: ICO), l’adoption par le grand public en tant que moyen de paiement perce petit à petit  (notamment en Asie) et les particuliers commencent à y voir un moyen de diversifier leur épargne tant les performances financières sont impressionnantes (voir notre article de notre PA, “Bitcoin, an unidentified financial object”.

    Ces évolutions obligent les états et les institutions financières à se positionner et si nous regardons bien c’est déjà le cas, avec des positions qui n’ont de cesse d’évoluer.

    D’ailleurs les positions de ces pays ne se ressemblent pas face à l'essor des crypto monnaies.

    En effet si la position des états était jusqu’à maintenant très ferme, elle a tendance à s’assouplir face à la pression du marché des “users” et aux formidables promesses que laissent entrevoir ces nouvelles technologies.

    Le 11 mars 2017, la SEC (Securities and Exchanges Commissions) a refusé l’homologation d’un fonds d’investissement en Bitcoin (ETF) sur son marché financier. Un ETF (fonds négocié en bourse) basé sur le Bitcoin aurait permi de toucher un public d’investisseur beaucoup plus large et de passer par là même à l’acceptance institutionnelle. La SEC justifie sa décision du fait que les systèmes de trading de cette cryptomonnaie ne sont à date pas suffisamment protégés contre la manipulation, la fraude ou les cyberattaques.

    L'extrême volatilité du cours est un sujet, même si elle a tendance à se stabiliser (voir notre article, Bitcoin, an unidentified financial object) et les cyberattaques sur les plateformes d'échanges ne sont pas une légende. Le passé du Bitcoin est parsemé de cyber attaques réussies contre des plates-formes de crypto-monnaies, comme Bitstamp, Cryptoine et Bitfinex.

    Et les menaces externes ne sont pas les seules à influer sur la valeur du Bitcoin, comme le mentionnait récemment le PDG de Mt. Gox Mark Karpeles. La cause de la fermeture soudaine de Mt. Gox a en premier lieu donné l'occasion de dénoncer des pirates. Mais l'ancien PDG serait en fait au cœur d'un arrangement frauduleux même si toute la lumière n’a pas encore été faite sur le sujet.

    Pour autant, il est important de constater que dans cette décision de la SEC, il y a une ouverture pour une homologation future d’un fonds ETF sur le Bitcoin. Celle-ci indique : "La commission note que le Bitcoin en est encore aux premiers stades de son développement et qu'avec le temps, des marchés réglementés liés au bitcoin de taille significative peuvent se développer".

    La Russie qui a interdit le Bitcoin en 2014, semble s’intérésser de plus en plus à une autre monnaie “l'Ether” et semble évoluer sur sa position, y voyant un potentiel relais de croissance via les technologies sur lesquelles reposent les monnaies virtuelles.

    En marge du Forum économique de Saint-Pétersbourg qui s'est tenu début juin 2017, Vladimir Poutine a rencontré Vitalik Buterin, le co-fondateur russe de l'Ethereum, deuxième crypto-monnaie derrière le Bitcoin, selon un communiqué du Kremlin : "Monsieur Buterin a décrit les opportunités offertes par la technologie qu'il a développée en Russie. Le président a soutenu l'idée de créer des liens avec de possibles partenaires russes", détaille le document.

    Les autorités russes commencent à développer un intérêt certain pour cette technologie. Lors du Forum de Saint-Pétersbourg, la gouverneure adjointe de la Banque centrale de la Fédération de Russie, Olga Skorobogatova, a dévoilé qu'un projet pilote de blockchain basé sur Ethereum était en cours, rappelle Bloomberg. Une semaine plus tôt la Banque de développement de la Fédération de Russie avait donné son accord pour l'utilisation de l'Ethereum dans certaines fonctions de l'administration.

    "L'économie numérique n'est pas une industrie à part, c'est la fondation essentielle pour créer de nouveaux modèles économiques", a déclaré Vladimir Poutine lors du Forum, en discutant des moyens pour booster la croissance russe sur le long-terme.

    Alors que l'économie russe sort tout juste de sa plus forte récession depuis deux décennies, la technologie Ethereum pourrait être un outil pour son développement et sa croissance. Difficile donc d’interdire cette monnaie tout en utilisant sa technologie.

    Le cas du Japon, beaucoup plus concret, nous éclaire sur la voie que prendront surement beaucoup de pays à l’avenir. En Mars 2017, ce pays a fait un pas important vers la démocratisation du Bitcoin en le reconnaissant comme moyen de paiement légal.

    L’agence nationale des services financiers a pris cette décision avec entrée en vigueur le 01 avril 2017. Cette reconnaissance du bitcoin en tant que moyen de paiement légal mais pas de monnaie s’accompagne d’un contrôle beaucoup plus fort sur l’accès à ce même moyen de paiement. Intéressant non ?

    Les procédures KYC (Know Your Customer) sont plus poussées, les utilisateurs d’une plateforme devant indiquer leur profession, les raisons qui les poussent à acheter des bitcoins et fournir les documents d’identification. Les plateformes en elles-mêmes sont soumises à des exigences qui peuvent se rapprocher de ce qui est demandé aux banques, à savoir un capital de 10 millions de yens, prouver que leurs systèmes informatiques permettent de prévenir les fuites, les pertes relatives aux fonds et aux informations personnelles et faire auditer leur gestion par un cabinet d’audit une fois par an au minimum.  

    Nous constatons donc que la position d’un état comme le Japon s’accompagne d’un contrôle renforcé des plateformes et laisse entrevoir la stratégie des états qui semble se dessiner. Derrière une position d’apparence plus accommodante, on voit une volonté des états de contrôler cette “monnaie” en contrôlant les flux, les points d’accès, à défaut de pouvoir contrôler les protocoles de création de cette monnaie.

    Bien entendu, on peut rétorquer, comme nous l’évoquions dans la première partie de cet article, qu’un utilisateur n’est en aucun cas obligé de passer par une plateforme d’échange, mais il est évident qu’une démocratisation de l’usage du bitcoin par le grand public passera par ces plateformes. L’investisseur ou l’utilisateur lambda, se tournera vers les services ou les plateformes ayant été validés par les autorités pour des questions de simplicité, de “confiance” ou pour éviter tout simplement le risque de se retrouver dans l’illégalité, ce dernier point restant un moyen de pression indirect dont pourront user les états.  

    En effet peut-être qu’à l’avenir, les plateformes les plus importantes apporteront plus de sécurité garantiront, les fonds investis comme une banque classique. Il se peut même que ces plateformes deviennent des banques ou soient absorbées par des banques.

    Cette démocratisation de type “grand public” pourrait permettre donc aux états de contrôler la majorité des flux autour de cette monnaie tout en appréhendant et en s’appropriant mieux les avantages que pourraient apporter ces technologies à leurs institutions comme à leur économie (ex de la Russie).

    C’est un peu comme si chaque victoire des promoteurs (“influenceurs”) de cette technologie pour son adoption par tout un chacun, la rapprochait d’un contrôle et d’une mainmise de plus en plus importante par les états et les institutions financières. Ces contrôles toujours plus forts nous feraient passer d’une monnaie décentralisée, puis concentrée jusqu’à peut-être même une monnaie centralisée.

    Le Bitcoin sera-t-il toujours le Bitcoin ?

    Ne deviendrait-il pas alors un actif financier quelconque dans des portefeuilles ou une monnaie classique ? Le Bitcoin tel qu’il s’incarne aujourd’hui ne mourra-t-il pas ?

    Cette évolution possible poserait problème à coup sûr aux communautés autour du Bitcoin et aux idéaux qu’elles portent, car elle va à l’encontre des idées libertariennes/ libertaires qui sont à l’origine de la naissance des monnaies numériques. Cependant les outils peuvent évoluer, disparaître même, mais les idées et les idéaux restent.

    Les idéaux libertaires (>libertariens plutot) vont-ils s’incarner dans les monnaies alternatives au Bitcoin pour renouer avec le rêve de centralisation ?

    Une hypothèse que nous pouvons tracer serait que ces communautés ayant créé le Bitcoin et portant les idées libertariennes associées, si elles n’ont plus la main sur cette monnaie, vont créer de nouvelles crypto monnaies qui reprendront le flambeau du Bitcoin, tel qu’il existait à ses débuts.  

    A ce jour, il existe plus de 700 crypto-monnaies, dont certaines ont des caractéristiques de confidentialité et de non traçabilité beaucoup plus forte que le Bitcoin.

    Nous pouvons prendre comme exemple Monero, qui a été créé dès le départ pour préserver au maximum l'anonymat des utilisateurs et rendre les transactions intraçables. Cette monnaie a été conçue en 2014 par un petit groupe de passionnés, qui voulaient poursuivre leur idéal libertaire et créer une monnaie échappant totalement à la surveillance des états et des banques.  

    Ces mêmes états sont soupçonnés par ces communautés de vouloir supprimer l’argent liquide pour mieux contrôler et surveiller les citoyens, sous couvert de lutte contre la criminalité. Les crypto-monnaies seraient amenées à remplacer l’argent liquide et deviendraient du cash électronique.  Si le Bitcoin venait à perdre ces idéaux, d’autres monnaies virtuelles seraient prêtes à le remplacer.

    Pour conclure, nous voyons assez facilement que les conflits qui ont toujours existé autour de la monnaie se retrouvent aussi dans le cyberespace, les états cherchant toujours à avoir plus de contrôle et les citoyens cherchant toujours de nouveaux moyens de s’y soustraire.

    Les idéaux de décentralisation se trouvent toujours rattrapés par des forces visant à les recentraliser, phénomène que nous constatons déjà dans le monde internet actuel.

    Le monde des crypto monnaies semble être le prolongement actuel du cyberespace, sa partie encore vierge où nous retrouvons les idéaux, les communautés présentes à l’origine du web dans les années 1980. Passionnant non ?